1. |
Taxi
03:54
|
|||
2. |
Brains Escape
06:26
|
|||
La vie, une suite d’époques qui s’enchainent
Belle époque qui filait à toute allure, le verre était à moitié plein, la force opposée à l’obscur
Laisses-moi me noyer dans les méandres du passé
Époque juvénile qui marquait le début du fil conducteur de la vie,
qui m’a conduit jusqu’ici,
c’est à dire toujours nulle part,
entre le rêve et l’espoir.
A défaut de pouvoir me réjouir du futur,
je contemple le passé en me plongeant dans la verdure d’une jeunesse,
belle époque qui filait à toute allure, le verre était à moitié plein, la force opposée à l’obscur
Toujours prêt à s’ouvrir pour la magie de l’inconnu, cherchant à se créer de quoi raconter son vécu,
on s’inventait ce qu’on considérait comme une vie d’excès, axée sur les limites qu’on s'efforçait à repousser.
Fasciné par la terreur que je craignais,
par la drogue et les excès,
par tout ce qui contribuait
à ouvrir le panorama de mon champ de vision,
à l’inconsciente illusion de ma désinhibition.
Refrain :
La vie, une suite d’époques qui s'enchaînent
Belle époque qui filait à toute allure, le verre était à moitié plein, la force opposée à l’obscur,
La vie, une suite d’époques qui s'enchaînent
Belle époque qui filait à toute allure, le verre était à moitié plein, la force opposée à l’obscur.
Te parler de jadis fait sourire mon esprit.
Réminiscence d’antan, création d’un abri dans lequel je stocke en bloc
tous les docs de choc de ma jeunesse belle époque.
Nostalgie d’une période de ma vie, la page est tournée,
je l’ai bien vécu maintenant j’ai décidé d’avancer.
Rien à regretter, j’ai su m'arrêter, à autre chose passer
parce qu'il le fallait pour garder les pieds sur terre,
éviter la misère, les excès, étudier, se ranger, reproduire, avancer.
Mais je ne vais jamais oublier le ballet cadencé des us et coutumes de fortune, celles qui nous animaient.
Bref j’ai laissé l’horloge au milieu du village du temps,
j’ai pris mes clics et mes clacs je suis parti de l’avant car :
pierre qui roule n’amasse pas mousse, procrastination à mes trousses
voulait me sédentariser dans les instants que j’appréciais.
Refrain
Voyage voyage dans les abysses du temps,
rétroaction du moment, on savait savourer l’instant
c’était spliff entre les dents, plaisir à plein temps, horloge au présent il n’y avait pas d’aiguilles dans le cadran,
c’était l’époque des poches vides mais des ventres pleins.
L’appétit vient en mangeant et c’est ce qui nous donnait faim de découvrir la vie, les filles, fallait épater la galerie,
m’as-tu-vu mon étendard, mon discours la connerie
Le ciel de mon esprit n’était jamais gris, mais le temps passe l’ami et les nuages aussi. C’est vrai j'étais bien dessus, sans le bruit des tic tac, mais faut bien finir par descendre et passer à l’attaque.
Hit the road Jack
on continue la track,
je m’arme pour la vie de la musique ma matraque et j’embarque, dans le vent, en chantant les refrains d’antan.
Volonté d’oublier de fermer les couloirs du temps.
Refrain
|
||||
3. |
Siphone
04:35
|
|||
Paupières à la dérive, réaction olfactive. Parfum “rhumatisé” près de moi viens s’allonger Clignements difficiles, réactions auditives, le bruit des vas et viens bouscule mes activités Mes intentions sont sobres, mon regard aspire la lumière. Mon esprit se concentre avant d’affronter l’éphémère
Tentative de séparer ma carcasse et mes draps, l’effort est intense car mes cheveux ont pris du poids
L’orchestre cacophonique m’ordonne un changement brutal, il est venu le temps de lever ma carcasse létale
Mon corps vertical se dirige vers la vidange, en obstacle a mon équilibre s’oppose une force étrange
Découverte sur le parquet, d’éléments épars, mes yeux dans le miroir sont plus rouge que dans mes cauchemars
Mes souvenirs ont terminés la soirée bien avant moi, j’espère que ma raison n’a pas été victime de mon état
Refrain :
Douloureux lendemain de veille, on a refais le monde, mais les doctrines sont restées dans les bouteilles
Douloureux lendemain de veille, j’ai mal à la fête et pour être honnête, oui je le regrette Douloureux lendemain de veille, on a refais le monde, mais les doctrines sont restées dans les bouteilles
Douloureux lendemain de veille, douloureux lendemain de veille...
Je pourrais t’écrire le manifeste du sommeil, le manifeste du réveil, mais impossible de t’écrire celui de la veille
Quoique, plus j’avance dans le temps, plus mes souvenirs s'emparent de moi, je me souviens de quelques débats
Débats d’ivrognes qui refont le monde, propos abjectes vulgaires et tendres. Les braises de mon cerveau sont mortes, il ne reste que les cendres
Quête de chaleur, j’offre mon amour. Toi tu écoutes, moi je suis l’orateur. Confidence au grand jour de tout ce que cache ma pudeur
J’ai parlé des femmes que j’aime et de ma supériorité J’ai raconté l’histoire banale de mon dégoût de la société Feu d’artifice de vérité, j’ai déballé sans m'arrêter
J’étais l’artiste du verbe, Master en ivresse appliquée
Refrain
J’ai vécu dans l’instant, et même si c'était dans l’absence, jusqu’au bout de moi-même, sans me faire trop d'offense, je pense
Comme un aboutissement, j’ai profité du moment, déconnexion du temps j’ai juste savouré le présent
État désastreux, mon corps se lamentera dans le canapé Une petite journée de perdue, pour une grande soirée de gagnée
J’ai fait plaisir à mes sens, équilibré la balance entre stress et décompresse, si c’est à refaire, je recommence
Mais je regrette d’avoir besoin de ça pour équilibrer mes humeurs, en me noyant dans la liqueur j’observe toutes mes erreurs
Constat d’une vie basée sur ce que les autres attendent de moi, c’est en buvant que je m’en rends compte, c’est en buvant plus que j’oublie ça
Alcool, remise en question, mais qui suis-je vraiment? Est-ce la sobriété qui m’aveugle? Ou bien l’alcool qui me ment?
Ne pas savoir la vérité m’oblige à prolonger l’expérience, c’est pour ça qu’hier vers mon inconscience, j’ai pris la diligence, et...
Refrain
|
||||
4. |
Fair-Play
04:38
|
|||
Les goûts et les couleurs, on ne peut pas plaire à tout le monde
Nous ne sommes pas tous branchés sur le même récepteur d’onde
Je préfère les belles femmes ébènes mais n’honnis pas qui aime les blonde
Je condamne les critiques blessant, ceux qui trouvent toujours tout immonde
T’es toujours en train de cracher sur la gueule des autres
T’es le premier à être heureux quand un de tes potes se vautre
Tu te moques, tu décourages, tu provoques des orage
Tu divises, tu méprises, ton âme est grise et sans saveur
Car de ne pas être, tu as peur, à ce que tu crois ta hauteur
Celle du number one, du meilleur, ce qui est une grave erreur
Essaie d’apprendre l’humilité, ça te rendra beaucoup plus léger
Plus en phase avec le sol, c’est de ce dernier qu’on décolle
Arrête de believe you can fly, arrête de you can touch the sky
N’oublie pas que le retour de flamme de tes offenses, peut incendier le désir de ta présence
Refrain :
L’humilité, la meilleure chose pour vers la sagesse, avancer
L’humilité, encourage ceux qui t’entourent, et tu vivras décontracté (x2)
De ça sonne mal, à ça sonne faux, en passant par : “c’est pas très beau”
C’est bon, mais il y en a beaucoup trop, il y a toujours un défaut.
Moi non plus, je n’aime pas ton style, ton air blasé cachant le frustré
Ton tout petit esprit fermé et ton orgueil démesuré
Je n’aime pas le ton que tu utilises quand tu me parles
Je vois bien que tu ne te sens pas bien dans tes sandales
Tu n’es qu’une photocopie de notre presse à scandale
Tu n’es qu’un attentat verbal, quand tu parles, c’est pour dire du mal
Tu n’aimes pas quand je te parle comme ça
Alors toi non plus ne le fais pas.
Essaie de pisser des mots dans le sens du vent
Use donc du verbe à bon escient, du positif, sois prétendant
Refrain
Pour moi, tu n’es que le médisant
De la gloire tu n’es qu’un mendiant
Ce n’est que de tes propres ailes que tu apprendras à voler
Ce n’est pas en coupant celles des autres que tu atteindras des sommets
Fais la compète avec toi même
Transforme ta vie en poème
Rebondis sur tes propres rimes
Si tu rames, ça n’est pas un crime
Chacun sa vitesse de croisière
Dans les chemins qui mènent au but
Les parallèles se rejoignent après les obstacles et les lutes
Le succès n’a pas d’heure, il arrivera quand il est prêt
En attendant, n’aie pas de rancoeur si quelqu’un l’a avant que tu l’aies
Il n’est pas qu’en un exemplaire, mais n’aime pas les langues de vipère
Pour l’avoir il faut le mériter, peut-être faire preuve d’humilité
Bien sur, la vie n’est qu’une compète, la plus belle coupe, celle du fair-play
Savoir jouer en homme honnête, c’est savoir perdre et l’assumer
N’oublie jamais que l’expérience n’est que la somme de tes erreurs
Use ta force à juger les tiennes, et tu ne feras qu’élever ta hauteur
Each one, teach one, comme disent les rastas
Apprends des autres pour apprendre de toi (x8)
|
||||
5. |
Ganjaccalmie
04:58
|
|||
Fumées opaques en moi qui débarquent
Fumées opaques comme une matraque
Savoure ta ganja sans conflits
Fume de façon réfléchie
Métamorphose, dans mon corps s’impose
Métamorphose, mon esprit prend la pause
Par un très gros gramme de folie
Quand je fume je suis envahi
Joint dans ma main ne se consume plus
À la même allure qu’il allait au début
Quand je commençais mes journées par un spliff
Quand à ma santé j’n’étais pas attentif
La vie ma fait comprendre que
La vérité ne venait pas que
Quand je commençais mes journées par un spliff
Qui m’offrait l’illusion d’être réactif
Joint dans ma main ne se consume plus
À la même allure qu’il allait au début
Il partait trop vite, j’en étais sa proie
J’en étais l’esclave, je n’en profitais pas
Petite brume annonce le soleil, brouillard stagnant me dépareille
Je ne le fume plus de façon régulière
C’est comme ça que je le préfère
Refrain :
La ganja
Je préfère la rendre rare en moi
Ne pas dépendre de son emploi
C’est ma façon à moi de l’élever au rang de produit de choix
Consumer moins, pour consommer mieux
Depuis que c’est le cas, mon esprit va mieux
Voit mieux la vie comme, comme elle est vraiment
Le ciel est plus clair sans les nuages dedans
Quand je fume un spliff occasionnellement
Ma tête s’illumine et mon corps se détend
Je ne pouvais pas observer le changement
Quand ma tête et mon corps étaient toujours dedans
La parcimonie, ma nouvelle amie
Je l’ai rencontré dans un tournant de ma vie
Quand j’étais en stress, remise en question
Quand la dépression était mon champ d’action
La fumette ne voulait plus de moi
Elle me mettait en mauvais état
Car elle amplifie tous les sentiments
C’est une arme à double tranchant
Mais je savais bien qu’elle avait du bon
Passer de tout à rien n’était pas l’option
Prendre du recul pour peser le contre
Avec d’autres mœurs tu peux faire des rencontres
Refrain
De plusieurs par jour, à même pas deux par mois
Ce n’est plus la Ganja qui guide mes pas
Mais quand le magicien s’occupe de moi
J’en profite beaucoup plus qu’autrefois
Je remercie la Ganja car elle m’a conduit
Sur la route du reggae, le chemin de ma vie
Je remercie la Ganja car elle a forcé
Quelques rencontres et des états, des histoires à raconter
Elle m’a accompagné pendant des mois et des années
Elle m’a parfois ralenti, elle m’a souvent ruiné
J’étais triste sans elle mais depuis qu’on a pris nos distances
On arrive à communiquer avec beaucoup plus d’aisance
Refrain
|
||||
6. |
Désolé Girl
05:01
|
|||
C’est l’histoire d’une fleur aux pétales arrachés
Qui dans sa nuit profonde brille plus que son obscurité
Comme une étoile fragile, brillante dans l’été
Agitant le drapeau de l’espoir, exemple pour le monde entier
Refrain :
Désolé Girl, d’avoir pas été jusqu’au bout
Désolé Girl, de toi je me souviendrai de tout
Désolé de t’abandonner comme un peintre abandonne sa toile
Mais mon coeur Girl, brille pour une autre étoile
La fleur, pleure, car elle a vu la vie
Marquée du sceau de la folie
Dans son sourire se cache, la tragédie des cris
Acouphène dans sa tête qui jamais ne guérit
Ses souvenirs d’horreur, engendrent sa méfiance
Elle se referme sur elle-même dés que la fleur pense
Elle n’en fait part à personne, de peur de déranger
Mais quand la fleur s’allumette, elle est prête à craquer
Désolé Girl
Elle sait qu’elle est la fraise qui vient d’un arbre à citron
Mon cher enfant de la guerre, t’es tout ce que la guerre a fais de bon
Perdue entre abandon, et le trauma des bastons
Même la saveur du coton, de ses choix, n’a pas eu raison
L’allumette a craqué, mais la fleur a survécu
Faisant jaillir à la surface tout le caché de son vécu
Enracinée dans la terre, solide comme l’acier
Elle peut survivre en hiver, cette fleur de l’été
Désolé Girl
Si je te raconte cette histoire, c’est parce que j’ai croisé
Sur le chemin de ma vie, la fleur aux pétales arrachés
Je fût le bout de bois sur lequel s’est déposé son souffre
Elle a supporté mes gaffes, m’a accompagné dans mes gouffres
J’étais noir dans le jour, elle était plutôt la nuit blanche
Nos différences respectives ont fini par couper la tranche
Les étoiles dans le ciel, s’en vont et puis s’en viennent
Mais je n'oublierai jamais, Girl, cette étoile qui est la tienne
Refrain
|
||||
7. |
Mélangoureux
05:43
|
|||
Besoin de plus? Ou besoin d'être?
Besoin de vivre? Ou bien de naître?
Besoin d’attaches? Ou bien d’un maître?
L’amour est la raison de ne jamais m’envoyer paître
Satisfaction, dans cet échange
De ma tristesse, oui la vidange
La nourriture, celle que je mange
Je me laisserai toujours faire par ce mouvement étrange
Cet amour, je ne sais l’exprimer que dans mes chants, on ne m’a pas appris à faire l’éloge de mes sentiments
Cet amour, j’aimerais l'offrir à tous ces gens qui m’entourent, me soutiennent et me bercent depuis longtemps
Cet amour, loin des échanges d’argent, je ne veux rien en recevoir, je ne veux pas savoir si tu le prends
Cet amour, je l’offre évidemment, à mon petit frère défunt, à mes très proches, mes influents
L’amour, l’amour, et sa saveur florale
Disons le sans détour, l’amour est un besoin vital
Celui qui crée des liens intenses entre les êtres et la fonction
Celui qui fixe les distances, et qui fait naître les passions
L’amour, l’amour, et la force de son action
Il peut calmer, parfois faire naître des tensions
J’essaie de ne m’en tenir qu’à la première proposition
Mais la raison ignore parfois l’amour et ses raisons (x2)
Tu n’oses pas parler de l’amour car tu veux faire le dur
T’es le baba-cool de la haine et pour moi tu vas droit dans le mur
Je préfère être à contre courant mais être vrai, ça j’en suis sûr
Faire ce que j’aime, aimer ce que je fais, en étant fier de mon allure
Tu te camoufles dans ta mode et l’amour tu censures
Tu fais ta brute comme tout le monde, au bon sens tu ne fais qu’injure
Si tu es solide comme le roc, n’aie pas peur de la rupture
avec la connerie qui t’entoure, va dans le sens de la nature
On fini souvent par devenir ce qu’on ce dit que l’ont est
A force de n’entendre que haine, tu en deviens l’abonné
Moi je décide d’opter pour l’amour et de le véhiculer
Vis le pour le comprendre, imprègne toi s’en pour l’apprendre
Cet amour, loin des échanges d’argent, je ne veux rien en recevoir, je ne veux pas savoir si tu le prends
Cet amour, je l’offre évidemment, à mon petit frère défunt, à mes très proches, mes influents
|
||||
8. |
Trompe-L'oeil
04:02
|
|||
Souvenirs amères de mon chapitre chevelu
Je fus dix ans de locks et de vert, jaune, rouge vêtu
Sous mes faux airs gangster, était le même individu
Juste un jeune homme un peu curieux, tâtant de loin l’odeur des rues
J’étais interpellé, police ou racketteurs de ganja
La rengaine de la fouille hebdomadaire, j’en avais droit.
Beaucoup me croyaient sponsorisé par les King Size Rizlas
J’étais conscient que ça n’était que la rançon de mon propre choix
Depuis que mes dreads, j’ai coupé
Tout devient plus facile d'accès
Ils m’acceptent dans leur ronde depuis qu’ils me croient dans leur monde (x2)
J’étais le bourreau des profs, leur drogué fainéant
Cette image de moi-même était dans les yeux de beaucoup de gens
Pourtant l’abus d'excès n’était plus mien depuis longtemps
Quand tu n’es pas le même dehors, personne ne regarde dedans
Malgré les méprisants, je me sentais bien dans ce déguisement
Les sensations, les sentiments quand on se promène contre le vent
Les clichés de ton apparence sont des cons le jugement
Dommage, pas de dégrisement pour les esprits navrants
Depuis que mes dreads, j’ai coupé
Le tapis rouge est déroulé
Ils m’accordent de la confiance depuis qu’ils me croient dans leurs danse (x2)
C’est fou comme les gens sont changeants pour quelques cheveux en moins
Je suis devenu le mec bien du jour au lendemain
Jugement favhorrible quand tu te fonds dans la masse
Conformité rassure, système aime qui boit la tasse
Je fais partie du cheptel depuis que je réponds au dictât
Je reproduis les modèles imposés par les écrans plats
Je fais partie des dociles et c’est ça qui rassure
La tristesse de mon style, c’est que c’est une dictature
Big-up tous ceux qui ne m’ont jamais dit que j’avais changé
Qui m’ont toujours considéré autant avant qu'après
Tous ceux pour qui ma métamorphose n’a pas eu d’impact
Tous mes potes sobres, qui ont leur clairvoyance intacte
Depuis que je n’ai plus de dreadlocks
On ne me prend plus pour un tox
No Diggity
Depuis que mes dreads, j’ai coupé
Le tapis rouge est déroulé
Ils m’accordent de la confiance depuis qu’ils me croient dans leur danse (x2)
Pour tous mes moutons noirs, qui n’ont pas le choix d’en changer
Tous mes délits de faciès, qui ne connaissent que les portes fermées
Je lève le poing, protestation, ouvrez donc vos champs de visions
Voyez les âmes, voyez les âmes, pas les contours, pour juger vos acceptations
Depuis que mes dreads, j’ai coupé
Tout devient plus facile d'accès
Ils m’indisposent de leur prudence depuis qu’ils me croient dans leur sens (x2)
|
||||
9. |
Erika
03:01
|
Streaming and Download help
If you like Vice Vertu, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp